La nécessité d’évaluer l’impact social des associations est aujourd’hui largement admise. Si beaucoup veulent ainsi asseoir la légitime preuve de l’efficacité de la dépense publique, ou l’utilité d’un soutien privé à une initiative citoyenne, les acteurs eux-mêmes peuvent y voir l’occasion de démontrer leur plus-value. En effet, les relations contractuelles se sont tendues et la tentation de considérer le secteur comme un acteur économique « comme un autre », sans égard pour son utilité sociale, prend de l’ampleur.
Publié le 17 mars 2014, par Benoît Boissière
Commentaires
-
Aucun commentaire.
