Grenoble est souvent présentée comme étant un « laboratoire » urbain, tant du point de vue de l’innovation technologique et de la démocratie locale que de l’expérimentation urbanistique. Près d’un an après les élections municipales, Charles Ambrosino et Gilles Novarina montrent les limites de ce modèle à l’heure où la « capitale des Alpes » s’inscrit dans le nouveau processus législatif de la loi sur les métropoles.
Publié le 2 mars 2015, par Benoît Boissière
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