Après les attentats de janvier et ceux du vendredi 13 novembre, l’urgence est-elle de pouvoir manifester librement pour dire notre rejet de la violence sous toutes ses formes, ou d’imaginer de nouvelles manières de faire reculer les peurs et la haine qui gangrènent nos rapports humains et nos sociétés, aussi sûrement que le libéralisme capitalistique débridé a pollué l’air, le sol et le ciel de notre planète ?
Publié le 2 décembre 2015, par Benoît Boissière
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