Le temps de l’éducation est celui du temps long. Répondre dans l’urgence à des journalistes sur ce qui se dit lors des premières heures post attentats est le plus souvent vain. Mauvais souvenirs de janvier dernier lorsque beaucoup de collègues, largement entendus et relayés par la presse, s’étaient fait l’écho, en l’amplifiant jusqu’à l’absurde, des propos maladroits et spontanés d’enfants.
Publié le 3 décembre 2015, par Benoît Boissière
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