Un rapport sénatorial dénonce l’importance des fonds publics investis dans la prévention de la radicalisation et parfois perdus, faute de sélection, de professionnalisme et d’évaluation des intervenants choisis. En deux ans, 100 millions d’euros ont été dépensés.
Publié le 12 juillet 2017, par Benoît Boissière
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