Un certain nombre d’élus locaux et de professionnels de la politique de la ville se soucient du sort réservé aux communes pauvres, aux associations intervenant dans les quartiers prioritaires ainsi qu’au secteur du logement social. Plusieurs décisions estivales entérinées ou en passe de l’être par le ministère de la Cohésion des territoires leur restent en travers de la gorge.
Publié le 21 août 2017, par Benoît Boissière
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