Après la fin des contrats aidés, la réduction des aides à la politique de la ville est la goutte de trop sur le dos des quartiers sensibles. A Chanteloup-les-Vignes, le maire ne remboursera pas les sommes versées que l’État lui réclame. A Évreux et Pantin, élus ou associations n’écartent pas l’idée d’aller devant le tribunal administratif !
Publié le 5 octobre 2017, par Karine Adam
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