La rénovation urbaine entend faire de l’habitat privé le principal levier de la mixité sociale. L’histoire des copropriétés de Clichy–Montfermeil, aujourd’hui en partie démolies, souligne pourtant la fragilité de ce postulat et montre que les conditions initiales de production et de commercialisation d’un ensemble immobilier peuvent aussi avoir des conséquences cruciales sur sa dégradation et son devenir.


