Instauré depuis la loi DALO de 2008, le droit au logement opposable connaît de nombreuses difficultés de mise en œuvre. Au-delà des retards souvent dénoncés, l’analyse des modalités pratiques de son application montre qu’il tend à la fois à exclure les plus démunis et à renforcer les logiques de la ségrégation socio-spatiale.
Publié le 15 septembre 2015, par Benoît Boissière
Commentaires
-
Aucun commentaire.

