(…) Soixante-dix ans plus tard, Matignon estime à quelque huit cents individus, très jeunes, les «djihadistes français» partis se battre en Syrie et en Irak aux côtés de groupes armés qui se revendiquent d’un islam dégénéré, obscurantiste et barbare. Evidemment, ils sont bien trop peu nombreux pour que l’on puisse en déduire quoi que ce soit sur la jeunesse française en général, ou celle de nos banlieues en particulier.
Publié le 23 juillet 2014, par Benoît Boissière
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