Alors que le premier ministre Manuel Valls dénonce un « apartheid territorial, social, ethnique » en France, la politique de la ville est redevenue l’affaire des intercommunalités avec la loi du 21 février 2014. Si de nouvelles ambitions en matière de mixité sociale, de réduction des inégalités et de solidarité territoriale peuvent légitimement naître de ce pilotage intercommunal, le contexte financier et les rivalités territoriales pourraient entraver les ardeurs réformatrices de certains élus locaux.
Publié le 23 janvier 2015, par Benoît Boissière
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