Dans une contribution remise fin janvier au ministère de la Ville, le Comité national de liaison des acteurs de la prévention spécialisée (CNLAPS) évoque la souffrance des éducateurs de rue après les attentats de Paris et reconnaissent avoir « probablement sous-estimé différentes questions » dans leurs pratiques. Le CNLAPS juge nécessaire de déployer de nouvelles actions et formule une série de propositions. Son président, Richard Pierre, estime que ce n’est vraiment pas le moment d’amputer le budget des clubs.
Publié le 3 février 2015, par Benoît Boissière
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