Alors que l’état d’urgence est prolongé jusqu’à fin mai 2016, bon nombre de villes font preuve de davantage de vigilance que par le passé et renforcent leurs politiques locales de sécurité. Mais, en parallèle de la réponse sécuritaire mise en œuvre et/ou soutenue par l’Etat, quelques élus et cadres territoriaux tentent d’apporter leur propre réponse. Sans angélisme face à la radicalisation susceptible de conduire à la violence et au terrorisme, ils prônent une prévention globale alliant politique de la ville, renforcement des dispositifs Jeunesse et lutte contre les discriminations.
Publié le 8 mars 2016, par Benoît Boissière
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