Dans le nouveau découpage de la politique de la ville, annoncé par le gouvernement, il n’y aura plus que 700 communes, au lieu de 900, et 1 300 quartiers, au lieu de 2 500, éligibles aux aides à partir de janvier 2015. Un dispositif de plus voué à l’échec ? Pour Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot, sociologues, la politique de la ville qui accompagne la « compétitivité des territoires » ne s’attaque pas aux causes des inégalités.
« La politique de la ville conduit à territorialiser les difficultés des classes populaires » sur LHumanite.fr le 27 juin 2014


