D’un côté, il y a l’enfant qui aime bien l’école, mais ne comprend pas forcément ce qu’on attend de lui. A la maison, il a besoin d’aide, mais ses parents ne sont pas toujours armés pour l’aiguiller. Il part rarement en vacances, lit peu, fréquente davantage le centre aéré que les musées. De l’autre, il y a l’enfant qui a intégré les « codes » de l’école, qui est aidé par ses parents, voyage, est entouré de livres, va voir des spectacles… C’est ce contraste saisissant que laisse transparaître l’enquête de l’Association de la fondation étudiante pour la ville (AFEV), publiée mercredi 24 septembre.
Publié le 24 septembre 2014, par Benoît Boissière
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