Le ministre de la Ville « ne vit pas dans le monde des bisounours » mais il se prend parfois à rêver, par exemple que les centres sociaux soient ouverts le week-end, voir une partie de la soirée. Il s’agit pour Patrick Kanner d’occuper l’espace des quartiers pour éviter qu’il ne le soit par des mouvements de radicalisation visant les jeunes. « Daesh n’est pas qu’en Syrie », constate-t-il, et la politique de la ville, avec son volet prévention, porte selon lui « une partie de la réponse aux phénomènes de radicalisation ». En complémentarité des politiques régaliennes de répression.
Publié le 7 octobre 2015, par Benoît Boissière
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